À quoi servira bientôt l’euro numérique ?

« Nous allons vers une dématérialisation de la monnaie et l’euro numérique fait partie de cette tendance qui vise à adopter une monnaie de plus en plus ‘légère’», explique l’économiste associé à la plateforme d’éducation financière SPAK et professeur à Science Po Michel Ruimy.

L’euro numérique, projet phare de l’Union européenne, s’inscrit dans une ère de dématérialisation monétaire, offrant une perspective sur l’évolution des transactions financières. L’économiste Michel Ruimy, associé à SPAK et professeur à Science Po, dévoile les enjeux et les ambitions de cette initiative lors d’une interview par Leena Lecointre du média Français à l’étranger.

« La mise en place de cette cryptomonnaie permettrait de minimiser les coûts d’exploitation dans le système financier », explique Michel Ruimy

La dématérialisation de la monnaie, avec l’euro numérique, pourrait réduire les frais annuels associés aux transactions par carte bancaire, tandis que contrairement aux cryptomonnaies comme le Bitcoin ou l’Ethereum, il serait un moyen de paiement universellement accepté dans la zone euro, adapté aussi bien aux achats en ligne qu’en magasin.

Selon le communiqué de la BCE, un euro numérique transposerait les caractéristiques du liquide dans le monde numérique, préservant ainsi l’anonymat des transactions, contrairement aux paiements par carte bancaire qui sont traçables et exposent les données des consommateurs à des tiers, comme l’explique Michel Ruimy.

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